An infirmis a morbe viribus reparandis Gin-Seng ? [Le Gin-Seng convient-il comme reconstituant ?]. Thèse Paris 1736.
Présidée par Jacques-François Vandermonde.
Première apparition de caractères médicaux chinois, la même année (1736), dans la thèse de Folliot de Saint-Vast (caractères relatifs au ginseng) et dans le traité d’Astruc (De morbis venereis libri sex, caractères relatifs à la syphilis en médecine chinoise).